Qu’est-ce qui maintient la stabilité au sein d’un écosystème et empêche un seul meilleur concurrent de déplacer d’autres espèces d’une communauté ? La stabilité des écosystèmes dépend-elle de la présence d’une grande variété d’espèces, comme le croyaient les premiers écologistes, ou la diversité a-t-elle exactement l’effet inverse et conduit-elle à l’instabilité, comme le prédit la théorie moderne ? Résoudre un débat de longue date parmi les écologistes Une nouvelle étude de l’Université McGill et de l’Institut Max Planck et publiée récemment dans Science suggère une réponse à cette question qui fait débat parmi les écologistes depuis un […]
Lire l'articleSi vous êtes soucieux de l’environnement à la maison, vous connaissez probablement également des options de voyage durables qui vous permettent d’explorer le monde sans avoir l’impression de contribuer aux déchets, la pollution et surconsommation. C’est le concept même des destinations écotouristiques telles que Stanford Inn by the Sea, un complexe de luxe perché surplombant la côte californienne de Mendocino. Continuez à lire ci-dessous Nos vidéos en vedette Les objectifs du complexe s’articulent autour de la création d’une expérience client mémorable tout en assurant le bien-être du client, de la planète et de la communauté. Cette […]
Lire l'articleComment préserver la biodiversité tout en sécurisant les moyens de subsistance économiques des petits agriculteurs cultivant la vanille à Madagascar ? Il existe un moyen, selon une étude des universités de Göttingen, Marburg et Hohenheim. L’équipe de recherche montre que les plantations de vanille implantées en jachère ne diffèrent pas en termes de rendement de celles implantées en forêt. La culture sur les terres en jachère y accroît également la biodiversité. Les résultats ont été publiés dans Communication Nature. Dans cette étude, les chercheurs ont enregistré les rendements des cultures dans les systèmes agroforestiers de la […]
Lire l'articleLes larves de longicornes se développent principalement dans les tissus ligneux, difficiles à digérer pour la plupart des organismes. Cependant, les larves de longicorne possèdent des enzymes spéciales pour décomposer les divers composants de la paroi cellulaire de la plante. Des chercheurs de l’Institut Max Planck d’écologie chimique à Iéna, en Allemagne, ont maintenant examiné de plus près un groupe d’enzymes digestives que l’on ne trouve que dans cette famille de coléoptères. Ils ont ressuscité les enzymes primordiales, qui sont apparues pour la première fois chez un ancêtre commun des longicornes. Le transfert horizontal de gènes […]
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