Marianne Kivastik, Université de Tartu, discute de son article: Une étude de science des citoyens paneuropéens révèle des facteurs liés aux ratios de morphing biaisés dans la plante hétérostyle Primula veris Les changements environnementaux induits par l’homme ont de nombreuses conséquences négatives sur la biodiversité à tous les niveaux. Parmi les plantes, les espèces pollinisées par les insectes peuvent être particulièrement affectées par la perte et la fragmentation de l’habitat en raison des effets néfastes sur les pollinisateurs. Heterostyly est un système reproducteur caractérisé par la survenue de multiples morphes florales au sein d’une population pour […]
Lire l'articleKeke Cheng & Shixiao Yude l’Université Sun Yat-sen, discutent de leur article : Déterminants de spécificité des pathogènes en forêt en anglais et en chinois. Arrière-plan L’automne est arrivé et les fruits sont mûrs. Les graines tombent de l’arbre et se répandent autour de l’arbre mère, attirant les écureuils qui adorent les manger. Les écureuils sont venus manger un grand nombre de graines et sont repartis satisfaits. Les quelques graines qui survivent s’installent dans le sol puis, au printemps, elles commencent à prendre racine et à devenir des semis. Malheureusement, les plants qui poussent autour de l’arbre […]
Lire l'articleIntroduction Les émissions de mercure sont un élément naturel. Celui qui est devenu une préoccupation importante en raison de son impact sur l’environnement et la santé humaine. Ces dernières années, on s’est de plus en plus concentré sur la réduction des émissions de mercure afin d’en atténuer les effets néfastes. Cet article vise à explorer les sources de mercure atmosphérique. Aussi, les conséquences de la pollution au mercure. Enfin et l’importance de réduire les émissions de mercure ; notamment dans le secteur industriel. Comprendre l’impact dans l’atmosphère Le mercure, lorsqu’il est libéré dans l’atmosphère, peut parcourir […]
Lire l'articleUne nouvelle recherche de l’Université nationale australienne (ANU) a cartographié l’ADN de plus de 150 espèces de rongeurs indigènes d’Australie, de Nouvelle-Guinée et des îles mélanésiennes, brossant une image plus claire de la façon dont ils sont liés et comment ils ont fini par se propager à travers le Pacifique. L’auteur principal, le Dr Emily Roycroft, a déclaré que les rongeurs indigènes sont un groupe évolutif fascinant mais souvent sous-estimé. « Il existe plus de 150 espèces en Australie et en Nouvelle-Guinée que l’on ne trouve nulle part ailleurs dans le monde, comme le rakali – ou […]
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